incubes succubes et refoulements sexuels dans cette vie ou dans d'autres...

Merci pour ce superbe éclairage Arathos.

Ta vision des choses à partir d'un champ de vision différent complète la compréhension que l'on peut avoir du phénomène.

A vrai dire, plus j'y pense, plus je me dis que ce n'est pas une larve.

Dans mon récit, j'ai "sauté" certains détails évidement (le forum est public et accessible dès 16 ans...), mais pour aller au bout de l'histoire sans trop en dire, à la fin, ma mère avait fait appel à un gars balaise du milieu.

A celui-là, il aurait été dit certaines informations. Avec le recul, je sais que c'est une une énergie avec laquelle j'étais en contact précédemment (tu l'a deviné, bravo!)

Mais apparemment, mon "moi" précèdent était "débiteur". En gros, quelque chose s'est passé après la décorporation qui fait que j'aurai échappé à ma "dette".

D'où le rappel.

C'est ce que je crois comprendre.

Après, la question est: un succube peut-il vous suivre de vie en vie?

Ton éclairage me pousse à penser que oui...

Cher tous,

Arathos a écrit:Ceci est particulièrement vrai en conclusion énergétique négative, de vies antérieures dédiées à une vie monastique ou ascétique et mal interprétée au niveau de la sublimation du désir sexuel et vécue tant bien que mal dans un refoulement permanent visant à étouffer les instincts sexuels(comme saint Antoine ...)

A mon avis, c'est ça. Nous tous, nous avons eu des vies antérieures, et souvent on ne commence pas son chemin spirituel à zéro, on a déjà démarré quelque part. Même si on vient d'un autre continent, le simple fait de s'incarner "ici" fait qu'on va inévitablement s'enrober de l'atmosphère astral/mentale qui correspond à notre culture et on retrouvera donc aussi les mêmes formes pensées.

C'est à dire que le chercheur de lumière dans notre époque actuelle incarné en occident et pourquoi pas en France, se ramassera inévitablement l'énergie de l'egregore, du moine ou fervent chrétien qui essaie de vivre une vie "pure" dénuée de sexe alors qu'il n'en a pas la structure, in n'est pas un Maître au sens de la Théosophie et sa démarche ne peut créer que des déséquilibres dont on va souffrir.

Lorsque l'on est jeune et en bonne santé, compte tenu de l'évolution de notre Humanité, la sexualité est inévitable : il faut trouver un juste milieu qui permet d'équilibrer le besoin d'Amour, les échanges d'énergie dans le plan Astral, les besoins du corps et ses appels à la reproduction, et créer des vibrations subtiles propices à la recherche spirituelle : il faut trouver le juste milieu, le juste équilibre.

Après, la question est: un succube peut-il vous suivre de vie en vie?

Oui, mais il s'agit d'une règle générale, pas seulement de la succube. Tout ce que l'on a émis a tendance à revenir vers nous, ce n'est pas un drame, ce qui est important c'est notre attitude et la façon dont on gère leur retour. Dans l'absolue se sont des illusions et lorsque l'on change notre conscience, cela change donc l'effet qu'elles ont sur nous.
Plus on avance, plus on est face à des perturbations comme celles là, et plus on finit par les "absorber" et en faire quelque chôse de 'mieux'.
Dans le cas précis des succubes, ce n'est pas tellement la sexualité pour moi qui pose problème, mais l'Amour: en filigrane, ce genre de réincarnations avec une sexualité "pure", a un corollaire : le fait qu'on Aime que son Dieu, ou son "Christ", et on devient incapable d'aimer quelqu'un dans la vie normale. Lorsqu'on se réincarne, au delà de la sexualité, c'est surtout l'Amour avec une personne incarnée qui est l'enjeu.

Ainsi il me semble ici que la sexualité est l'arbre qui cache la forêt, et que le vrai enjeu est finalement l'Amour (et non pas la sexualité) et la faculté d'Aimer quelqu'un ici dans cette matière ( La réincarnation passée ayant fait du Dieu ou du Chris Immatériel, la seule personne digne d'être aimée.

Beaucoup de réincarnations d'anciens Ascètes, soeurs ou moines ou chercheurs dans l'occultisme des siècles passés présentent à mon sens le même profil et se retrouvent face aux mêmes problèmes.

Bien à vous